A l’heure des grands changements (énergétique, numérique, écologique…) et autres crises (sanitaire, économique, immobilière…), le monde contemporain pose la question de la pérennité de notre modèle anthropocène et en particulier des systèmes d’infrastructure urbaine et périurbaine.
Nous nous attachons ce semestre à la question de la transition des mobilités et aux alternatives possibles pour les transformer. Les systèmes de transport sont aujourd’hui inefficaces, impactants et peu évolutifs.
Le canton Genevois ambitionne la décarbonation des mobilités en profitant des atouts et ressources géographiques de son territoire et imagine transformer la coupure que représente le lac Léman en possible liaison entre les 2 rives urbaines.
Nous faisons ici l’hypothèse, au regard de l’obsolescence du modèle des transports que les infrastructures routières, échangeurs, gares ne seront plus. Dans un nouveau Genève où temps et distances de déplacement ne seront plus des contraintes, comment imaginer transformer ces territoires ?