Directeur(s) d'étude(s) : Claire BAILLY
Enseignants : Emmanuel VICARINI, Hassan AIT HADDOU
Le projet L’arche d’Alger est né d’une étude approfondie du site et de son fonctionnement. Il s’agissait donc de trouver un lieu qui puisse accueillir la surpopulation en trop et les infrastructures publiques manquantes. Ainsi, le nouveau quartier deviendrait un sanctuaire sécuritaire pour les espèces marines présentes et serait adapté à l’exploration des usagers, tout en répondant à la problématique de la montée des eaux. C’est ainsi que m’est venue l’idée d’un quartier semi-flottant, en extension de la zone portuaire d’Alger, une zone qui serait semi-ancrée où seule une partie de la zone serait flottante. Je me suis mis en tête de créer une composition spatiale représentant un corps social existant qui ne soit pas excluant mais plutôt incluant et participatif.
En conclusion, ce travail devra permettre l'émergence d'un panel de questionnements sur les capacités structurelles des villes flottantes : quels matériaux utiliser en adéquation au milieu ? Comment limiter l’érosion de la côte ? Comment faire pour que les Algérois, si habitués à une densité importante, s’ouvrent vers un nouvel espace ? etc.