• Figure : Une ligne au Louvre

  • Perception ( depuis le grand bassin rond ) : un objet abstrait qui marque un seuil

  • Perception depuis le pavillon de l’horloge : fermeture de la cour du Louvre

  • Coupe longitudinale : Transparence et perméabilité

  • Transparence phénoménale : Moucharabieh en marbre

  • Plan R+1 : Continuité spatiale, le projet est pensé comme une grande galerie. L’amphithéâtre et la bibliothèque s’organise dans un même plan ouvert et neutre.

  • Axonométrie : système structurel

  • Coupe transversale 11: L’évitation et transparence de l’amphithéatre

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  • DE1 Alto - Architecture-Laboratoire des Territoires Ouverts
  • PFE

DIJON Morgan

TEMPS & ARCHITECTURE La bibliothèque du Louvre

2022

Louvre

Directeur(s) d'étude(s) : Martine WEISSMANN, Simon RODRIGUEZ-PAGES

Enseignants : Paolo AMALDI

Les habitants d'un territoire ne cessent de raturer et de réécrire le vieux grimoire des sols* 

La ville ne cesse de se reconstruire sur elle-même. Elle est constituée d'édifices qui ont traversé le temps. Un manuscrit composé d'une succession de chapitres relatant les interventions humaines ou naturelles, voulues ou non.

Construire dans un site historique a pour but de le valoriser. Il convient dès lors de le considérer comme un socle technique, culturel et historique à l'origine de projets tournés vers l'avenir. Il sert de base de construction théorique et pratique.

Penser un projet sur un site existant offre une nouvelle vision de la création architecturale, qui se fonde progressivement sur la transformation de l'existant.La question n'est alors plus de savoir s'il faut construire ou détruire, mais d'imaginer comment composer avec l'existant afin de se greffer à un passé sans le contredire.

Le Musée du Louvre est à mon sens un site idéal pour développer ces questions. Son histoire avec le palais des Tuileries permet de réinterroger la place du palais à notre époque. Dans le cadre de ce PFE nous développerons une démarche conceptuelle et théorique. Un projet contemporain, qui s'insère dans l'existant et compose avec celui-ci.

*André Corboz, " Le territoire comme palimpseste ", Diogène, 121 janvier-mars, p.20

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