Directeur(s) d'étude(s) : Michel JACOTEY
Enseignants : Charles Albert DE BEAUVAIS
Dans un contexte où l'espace constructible devient de plus en plus réduit et où le coût du foncier est élevé, le pont habité peut-il offrir une solution viable pour combler les vides urbains et favoriser la création de nouveaux espaces de vie en s'appropriant des territoires dépourvus d'édifices ? Quel serait le potentiel économique et social d'un tel modèle aujourd'hui, notamment en termes d'autofinancement et de tissage de liens entre des identités urbaines séparées par un obstacle physique ? Comment l'édifice architectural que représente le pont habité peut-il être une solution à la mutation actuelle et future de nos villes ?