Le cas « centrale » des Ardoises

C’est la question posé autour de la centrale thermique à flammes de Vitry-sur-Seine. Malgré la pauvreté de son architecture le bâtiment et ses machine sont source de fantasme. Qu’est-ce que cet univers utopique peut offrir face aux problématiques de la métropole ? Le projet s’axe autour de deux idées principales, Premièrement celle d’un cimetière communal de Paris : vertical, dense adapté aux techniques funéraires contemporaines et futures c’est-à-dire un columbarium capable de résoudre un problème majeur de notre ville. De plus La pérennité de ce programme se met au service de la sauvegarde d’un monument de l’industrie.

Deuxièmement Un parc en marge de la ville répondant à des problématiques écologiques, dont l’expérience puisse être une prise de conscience de l’espace et du temps, où le columbarium y est alors, géographiquement, conceptuellement et historiquement le point «centrale». Il porte aussi la fonction de jardin du souvenir permettant la dispersion dans le grand paysage. C’est un lieu physiquement connecté mais spirituellement détaché dont l’expérience physique est source d’émotions. Dans le développement d’un plan urbain global cohérent, je prévois des programmes complémentaires en particulier un crématorium et divers équipements funéraires.